De l’alu dans les vaccins. Non c’est pas une hallu.
Oui,
la vaccination est nécessaire, oui, elle sauve des vies. Mais non, elle
n’est pas sans risques. C’est désormais prouvé : dans les adjuvants
utilisés dans les vaccins, l’aluminium est toxique pour la santé. Une
fois injecté et s’il n’est pas éliminé naturellement par les urines,
l’alu peut migrer jusqu’au cerveau et être responsable de maladies
neurologiques graves et irréversibles. L’association E3M qui regroupe
les malades de la Myofasciite à macrophages induite par l’aluminium dans
les vaccins lutte pour des vaccins sans aluminium.
D’autres solutions possibles
Les
vaccins sans adjuvant aluminium ont existé durant de nombreuses années.
Ce sont les vaccins sur phosphate de calcium (adjuvant naturel et sans
danger) de l’Institut Pasteur qui en a fabriqué pour le monde entier.
Ils ont été retirés du marché en 1986 lorsque l’Institut Mérieux a
racheté l’Institut Pasteur. Mérieux fabriquait ses vaccins sur
aluminium, il a annulé la ligne de fabrication de Pasteur. Un simple
calcul de rendement industriel contre l’avis des chercheurs de Pasteur.
Magouilles industrielles
En
2008, Sanofi rachète l’Institut Mérieux, et fait carrément disparaître
le seul vaccin à trois valences, le DTPolio(diphtérie, tétanos,polio) et
le remplace par un vaccinaux multiples valences. Pour remplir
l’obligation vaccinale, toutes et tous doivent obligatoirement se faire
injecter des cocktails qu’ils et elles n’ont pas choisis. Les prix ont
explosé... La Sécu a remboursé ! Cherchez l’erreur.
Politique de santé dictée par l’industrie
En
janvier 2018, la loi sur l’obligation vaccinale à 11 valences
(diphtérie, tétanos, poliomyélite, haemophilius influenzaeB, coqueluche,
hépatite B,rougeole, oreillons, rubéole, méningocoque C,pneumocoque)
sera vraisemblablement votée. Cette loi de santé publique qui nous
concernent toutes et tous a été votée en première lecture à l’assemblée
nationale le 27 octobre par 75 député·es présent·es ce jour-là, sur 577 !
Cette obligation vaccinale fait partie du cortège de lois et
d’ordonnances que veut nous imposer Macron. Un énième fait du prince et
de politique répressive. Si cette loi était adoptée, elle nous priverait
de notre première liberté, la maîtrise de nos corps, et notre pouvoir à
refuser l’injection de produits dangereux. Obligeons les industriels à
re-fabriquer ces vaccins sans aluminium. C’est un choix que le
gouvernement doit faire en se dégageant des lobbys de l’industrie
pharmaceutique. Seul un mouvement de résistance et de désobéissance
générale peut contraindre le gouvernement à reculer sur sa politique
liberticide et anti sociale. Parents, personnel soignant, toutes et tous
concerné·es.
La CNT de la Loire